L’histoire en quelques mots
Troisième producteur mondial, le Kenya a attendu son indépendance, en 1963, pour développer la culture du thé. Introduite par les Britanniques au début du XXe siècle, la production a pris son essor sur les montagnes et les hauts plateaux, notamment au Mont Kenya, le deuxième plus haut sommet d’Afrique. Disposant d’un climat chaud et humide une grande partie de l’année, le Kenya favorise la production du thé et la création d’emplois.
Les variétés de thés
Hier, le Kenya produisait majoritairement des thés noirs CTC. Aujourd’hui, le pays incite les producteurs à développer de nouveaux cultivars et à privilégier la qualité. Ainsi, des thés noirs, mais également des thés verts et des oolong émergent.
Un exemple de cette montée en gamme : le Kiptagich Purple Oolong, un Grand Cru aux feuilles violettes (liées aux anthocyanes, pigments naturels) et aux notes minérales et végétales.
Un exemple de cette montée en gamme : le Kiptagich Purple Oolong, un Grand Cru aux feuilles violettes (liées aux anthocyanes, pigments naturels) et aux notes minérales et végétales.
Notre sélection